Dans la lignée des grandes expositions "égyptiennes" dont on se souvient au-delà des années (Toutankhamon en 1967, Ramsès II en 1976, etc.), La Grande Halle de la Villette accueille l’exposition "Toutânkhamon, le trésor du pharaon" du 23 mars au 15 septembre 2019. Une exposition que l’on pourrait légitimement qualifier de "blockbuster", mais qui porte aussi en elle un intérêt évident pour les scolaires.
Quelles espèces vivent en ville ? Comment s’adaptent-elles ? Quels bénéfices nous apportent-elles ? Comment peut-on favoriser leur présence ?
Autant de questions, auxquelles l’exposition répond grâce à plusieurs études scientifiques menées sur des territoires urbains, à Dijon et ailleurs, restituées sous différentes formes adaptées aux publics de tout âge : spécimens naturalisés et ostéologie, images, maquettes, manipulations, infographies, vidéos, documents d’archives, témoignages de chercheurs, etc.
L’exposition est ouverte du 5 avril au 17 novembre 2019 tous les jours sauf le mardi. Son accès est gratuit.
Emmanuel de La Villéon (1849-1944) est un peintre paysagiste impressionniste mais également influencé par le romantisme, le nabisme et le symbolisme. Le peintre a exploré un univers mystérieux, parfois en lien avec ses
convictions religieuses ou s’inspirant des contes et légendes de Bretagne, pays de son enfance. Mais Emmanuel de La Villéon est avant tout un artiste avide de recherches esthétiques, prônant l’utilisation prégnante des couleurs et attentif aux effets de la lumière sur la nature. Le peintre a résidé à Bitry, dans la Nièvre, durant une longue période de sa vie, et a fait de cette région une source d’inspiration centrale dses tableaux donnés au Musée de la Loire il y a quatre-vingt-dix ans.
- du 21 avril au 8 novembre 2019
Manger ou être mangé... la lutte pour la survie dans le monde animal passe par différents stratagèmes : se cacher pour échapper à un prédateur ou à l’inverse pour attraper plus facilement une proie, imiter l’environnement dans lequel vit l’animal ou imiter une autre espèce pour tromper les prédateurs en passant par l’imitation du chant ou du cri. Certaines plantes ont également développé cette capacité de se faire passer pour ce qu’elles ne sont pas.
exposition temporaire de mi-juillet à fin octobre 2019 : NO/MADE/#MuséeGrasset2019
Depuis 1994, l’artiste nivernais Laurent Bonté promène NO/MADE, une petite maison blanche à roulettes, autour du monde, dans des lieux improbables ou prestigieux, friches industrielles, parkings, halls d’hôtels. Des photographies documentent cette déambulation. NO/MADE, c’est un peu chacun de nous : réceptacle de nos rêves, des voyages que l’on ne fera pas, de nos émotions, de nos errances. Peut-être la part d’humanité qui nous manque.
À la fin de l’hiver, NO/MADE a poussé la porte du musée Auguste Grasset, a parcouru les salles, s’est glissé dans les réserves, a discuté avec les œuvres. L’exposition témoigne du passage de cet étonnant visiteur et invite le public à voir autrement un paysage muséal que l’on croit connaître parfaitement.